Il arrive que certaines nuits, le ciel, où plutôt, l’atmosphère s’illumine de manière anormale. On les appelle les nuits lumineuses. À tel point que certains racontent qu’il est possible de lire un journal sans autres lumières 🙂 . Grâce à des données satellites, des chercheurs tentent aujourd’hui d’expliquer ce phénomène qui nous intrigue depuis des siècles… Aujourd’hui, ces clartés nocturnes ne peuvent plus guère être observées par le grand public. La faute à la généralisation de la pollution lumineuse.
Mais alors, comment est-ce possible?
Des chercheurs de l’université York ont analysé des données satellites pour tenter d’expliquer ce phénomène en question, qui peut gêner les astronomes lors de leurs observations. Celui-ci résulte de pics de ‘Lueurs d’air’ ou de ‘Lumières du ciel nocturne’ (Pour informations pour la suite: en anglais, cela se dit « airglow »),
qui correspondent à de faibles émissions de lumière visible par l’atmosphère terrestre. L’apparition de tels pics serait due aux ondes de Rossby, ces mouvements ondulatoires et planétaires d’air dans la haute atmosphère.
Voici une petite vidéo pour mieux comprendre ce que sont ces « lumières du ciel nocturne », ainsi que le problème de ces étranges phénomènes qui brouillent les télescopes de l’ESO …
Je vous propose une petite biographie de Thomas Pesquet, pour rentrer dans le sujet…
Né le 27 février 1978 à Rouen, il est un astronaute français de l’Agence spatiale européenne (ESA). Après une formation d’ingénieur aéronautique, il a occupé différents postes dans l’industrie aérospatiale et à l’agence spatiale européenne avant de devenir, en 2004, pilote de ligne. En 2009, il fait partie des six candidats retenus pour former le troisième groupe d’astronautes européens sélectionnés par l’agence spatiale. Thomas est le dixième Français à partir dans l’espace en décollant le 17 novembre 2016 à bord de Soyouz MS-03 dont l’équipage occupe la Station spatiale internationale de novembre 2016 à juin 2017. Durant cette mission, notre astronaute a mené une centaine d’expériences dont la moitié développée par l’Agence spatiale européenne ou le CNES, l’autre moitié par la NASA. Il effectue plusieurs sorties extra-véhiculaires de six heures pour des missions de maintenance de la Station spatiale internationale.
Il est nommé Ambassadeur de l’UNICEF pour le changement climatique et l’accès à l’eau potable en novembre 2016
La préparation de sa mission
Lorsque l’Agence spatiale européenne lance une nouvelle campagne de recrutement d’astronaute en 2008, Thomas Pesquet présente sa candidature pour faire partie du Corps européen des astronautes. Il fait partie des six candidats retenus en mai 2009 parmi les 8 413 postulants. Celui-ci reçoit donc une formation initiale au Centre des astronautes européens (EAC) qui s’achève mi-novembre 2010.
Il est le plus jeune des astronautes recrutés par l’Agence spatiale européenne!
Il entame donc le long programme d’entraînement et d’apprentissage qui le prépare à sa future mission à bord de l’ISS. Les formations, selon leur nature, se déroulent principalement en Allemagne, en Russie et aux États-Unis. À la Cité des étoile, il s’entraîne à piloter le vaisseau Soyouz dans toutes les situations normales et d’urgence durant les phases critiques du vol, c’est-à-dire au décollage, lors du rendez-vous en orbite avec la station spatiale et lors de la rentrée atmosphérique. Il va donc faire beaucoup d’exercices, ainsi que de test pour ce préparer au jour J.
!Décollage immédiat!
Pesquet décolle le 17 novembre 2016 à 20 h 20 TUC à bord d’un vaisseau Soyouz. Le Soyouz MS-03 est placé en orbite par une fusée Soyouz tirée depuis le cosmodrome de Baïkonour au Kazakhstan. Le vaisseau Soyouz MS-03 s’amarre à l’ISS, le 19 novembre après 48 heures de manœuvres orbitales.
La mission de Thomas
Durant son séjour dans la station spatiale qui doit durer environ six mois (retour sur Terre en juin 2017), Pesquet est ingénieur de vol. Comme les autres membres de l’équipage, son temps est donc partagé entre la réalisation d’expériences scientifiques et la maintenance de la station spatiale. Quatre sorties dans l’espace sont programmées. Dans le cadre de sa mission, il doit mener plus d’une centaine d’expériences scientifiques pour moitié conçues sous l’égide de la NASA, l’autre moitié sous celle de l’ESA. Parmi ces dernières, sept ont été proposées par l’agence spatiale française, le CNES :
Fluidics est une expérience de dynamique des fluides dans l’espace ;
ECHO est un échographe expérimental, opéré à distance ;
Aquapad est un équipement permettant de déterminer facilement si l’eau est potable ;
Everywear est un logiciel sur tablette qui permet de collecter facilement les données des capteurs biomédicaux portatifs connectés en bluetooth et qui mesurent quotidiennement les paramètres physiologiques des astronautes ;
MATISS est une expérience de surface intelligente visant à empêcher les bactéries de se poser et de proliférer ;
Perspectives est un casque de réalité virtuelle destiné à mesurer l’incidence de l’impesanteur sur les fonctions cognitives ;
Exo-iss sont trois expériences pédagogiques développées en collaboration avec des lycéens.
Sa communication avec la terre et son activité
Pendant tout son séjour dans l’ISS, Thomas est resté très présent: notamment en postant beaucoup de photos de la Terre vu de l’espace sous différents angles (certaines fois, avec l’idée de faire prendre conscience aux gens de la pollution) et à fait quelques interview… (par exemple avec des enfants : Questions-Réponses avec Thomas Pesquet !)
Le retour?
Le 2 juin 2017, il quitte l’ISS, après 196 jours passés à son bord. Il atterrit au Kazakhstan vers 16 h 10 (heure française) avec son collègue russe. Lors de sa mission, il a mené 62 expériences pour le compte d’ESA et du CNES. Je vous propose donc d’aller lire mon article sur le retour de Thomas Pesquet pour en savoir plus…
Son état actuel?
Thomas Pesquet va actuellement très bien et n’a aucune séquelle grave ou irréversible. Il lui reste quelques test à passer mais tout va pour le mieux.
Quelques annonces intéressantes de Thomas
Dans quelques interviews, j’ai relevée que Thomas annonçait qu’il était près à repartir dans l’espace dès qu’il sera de nouveau près et qu’il serait d’ailleurs honoré de faire partie du groupe d’hommes allant sur Mars!!!
L’astronaute français Thomas Pesquet et son collègue russe Oleg Novistki ont atterri au Kazakhstan. C’était le 2 juin 2017, à 16h09, après un séjour de 6 mois dans l’ISS et un vol de 4h dans Soyouz MS-03.
Le Français a ensuite rejoint Cologne (Allemagne), le Centre européen des astronautes, où il a passé sa première nuit. Il y demeurera sous surveillance médicale pendant trois semaines… Le premier examen clinique n’a montré aucun stigmate de son séjour. Le plus difficile a été de retrouver la gravité après six mois en apesanteur. “Pendant les premières heures, la gravité se manifeste sous la forme d’une force tellement forte qu’il semble impossible d’effectuer certaines tâches”. Explique son médecin à l’AFP.
Depuis 2004, la sonde américaine Cassini se trouvant en orbite autour de Saturne, a repris contact le 27 avril 2017 avec la NASA après son passage sous les anneaux de Saturne, traversant une zone jusqu’à présent inexplorée.
» Nous avons réussi! Cassini est de nouveau en contact avec la Terre. Elle nous transmet des données après avoir plongé avec succès dans l’espace séparant Saturne de ses anneaux. « , a tweeté le Jet Propulsion Laboratory (JPL), puis à ajouter: « Le grand saut final est amorcé ! ». La sonde effectuera maintenant 22 orbites dans cette zone de 2400 km de large.
La suite de sa mission
Après avoir effectué ses 22 orbites, la sonde se préparera au grand saut. Le 15 septembre 2017, elle plongera dans l’atmosphère de Saturne et analysera sa composition. La sonde délivrera ses données jusqu’à sa destruction. Puisqu’en effet, sous l’effet de la vitesse et des forces de frictions, Cassini se vaporisera à la manière d’un météore durant une rentrée atmosphérique. Voici un petit lien vers l’article du CNES pour en savoir un peu plus sur la sonde: https://cassini-huygens.cnes.fr/
Une question tourne un peu partout en ce moment, pourrait-il y avoir la vie autour de Trappist-1 ? L’étoile Trappist-1 est un peu trop jeune pour que ses planètes aient eu le temps de permettre à la vie intelligente d’apparaître, mais ceci pourrait être un atout…
Quelques infos sur Trappist-1
Naine rouge de type M8
Age — estimé à partir de la théorie de la structure stellaire et des mesures qui la concernent — au moins 500 millions d’années mais peut-être aussi de plusieurs milliards d’années
Située à environ 40 années-lumière de la Terre
Possède au moins sept exoplanètes rocheuses, dont certaines sont potentiellement habitables.
La vie autour d’une si jeune étoile?
Effectivement l’étoile Trappist-1 est un peu trop jeune pour habité une forme de vie intelligente. Pourtant, rien n’est perdu, l’absence de civilisation autochtone pourrait être un atout. Des extraterrestres souhaitant y installer leurs colonies ne rencontreraient alors aucune résistance ou n’auraient pas de raisons de rester à distance. Si de telles colonies existent, elles pourraient communiquer entre elles par ondes radio. Les membres de Seti cherchent à vérifier cette hypothèse ,il tente d’écouter des signaux radio interplanétaires entre ces planètes depuis 2016.
À quoi ressemblent les exoplanètes de Trappist-1 ?
Voici une animation de la Nasa qui montre les portraits possibles des sept exoplanètes autour de Trappist-1. Il s’agit d’interprétations car personne ne les a vues. Elles sont supposées rocheuses et de tailles similaires à celle de la Terre. Trois sont dans la zone habitable et pourraient donc porter de l’eau liquide en surface!
Le ballet des exoplanètes autour de Trappist-1 par Futura-Sciences
Ayant eu l’honneur d’assister à la conférence de Thomas Pesquet, le Lundi 20 Mars 2017, sur le thème de l’eau dans l’espace, je vous propose ici un petit récapitulatif ainsi que mon avis sur la conférence…
Comment?
La conférence se déroula sous forme de question-réponse, entre des enfants et Thomas. Les enfants avaient choisi des questions posées par les internautes et les posaient à Thomas. La conférence étant malheureusement courte, et principalement dédiée à un jeune public, peu de questions adaptées à un public plus mûr furent posées.
La mission de Thomas Pesquet?
La mission de Thomas dans l’ISS durent 6 mois, celui-ci est obligé de faire 2h30 de sport par jour car en apesanteur les muscles ne travaillent pas et cela peut devenir dangereux pour la santé. Le but de la mission de Thomas est de faire des expériences pour la science qui sont impossible avec la gravité par exemple.
Communication?
L’ISS est à 400 km d’altitude et est en orbite autour de la terre.
Le signal suit donc un long trajet en passant par différents satellites ainsi que par Houston. Il y a donc un décalage de 5 à 6 secondes.
Quelles questions furent posées à Thomas Pesquet?
Voici quelques questions qui furent posées, que j’ai repris. -Comment se comporte l’eau dans l’espace? Nous avons donc eu le droit à une petite démonstration en direct. Je vous propose de voir cette petite vidéo assez semblable.
Des astronautes jouent avec de l’eau en apesanteur par Futura-Sciences.
-L’eau recyclé de votre urine et de votre sueur est-elle bonne? Oui, nous pensons même installer ce système sur terre. Celui-ci permet à l’ISS, d’être quasiment autonome en eau potable. Il recycle 95 % de l’eau qu’ils consomment. -Pourquoi n’y a-t-il pas d’eau sur les autres planètes? Car la terre a eu cette chance et pas toutes les autres, mais si, il y en a eu sur Mars bien que sous une autre forme. -Comment vous lavez-vous sur l’ISS? Nous nous l’avons avec des lingettes que nous imbibons d’eau. -Comment dormez-vous? Nous sommes attachez par des sangles dans des couchettes, soit sur les murs, soit par terre. Cela ne pose pas de problèmes comme il n’y a pas de gravité. C’est bizarre au début, car on a l’impression d’avoir la tête dans le vide 🙂 ! -A quoi serviront vos expériences dans le futur? Cela nous servirait à faire des expériences sur l’homme, comme le vaccin, ainsi que des expériences et des études sur les alliages de matériaux par exemple. Nous préparons également la vie futur, quand nous irons sur Mars? -Quel est votre loisir préféré dans l’ISS? C’est observer et prendre en photo la Terre vu de là-haut. Bien que les photos ne soit pas à la hauteur de ce qu’on voit, la nuit, le désert,… c’est magnifique! -Quel sera votre plus beau rêve après cette aventure? Ce serait d’arriver à répondre à de grandes questions de la science et grâce à ça, à améliorer la vie des gens. La ministre lui a alors fait une proposition: Acceptez-vous d’être l’ambassadeur de « l’espace » au près des enfants? Et donc de continuer à vulgariser la science pour eux? Sa réponse fut bien évidement OUI! 😉
TRAPPIST-1, aussi nommé 2MASS J23062928-0502285, est un système planétaire. L’étoile de ce système est une naine ultra-froide. Comme son nom l’indique, ce type d’étoile est donc beaucoup plus froid que le Soleil.
Autour de cette étoile gravitent au moins sept planètes rocheuses. Il s’agit de planètes de taille similaire ou inférieure à celle de la Terre.
L’étoile et ses planètes ont été découvertes en 2015 (bien qu’il est était annoncé récemment accompagné d’une autre découverte…) à l’aide du télescope belge TRAPPIST (the TRAnsiting Planets and Planetesimals Small Telescope) installé sur deux sites : le site TRAPPIST-S (TRAPPIST Sud) à l’Observatoire de La Silla, au Chili et le site TRAPPIST-N (TRAPPIST Nord) à l’Observatoire de l’Oukaïmeden au Maroc. Ces informations ont été croisées et complétées par celles de quatre télescopes situés aux Canaries, à Hawaï et en Afrique du Sud.
Les 7 exoplanètes?
Comme dit précédemment « Autour de cette étoile gravitent au moins sept planètes rocheuses. Il s’agit de planètes de taille similaire ou inférieure à celle de la Terre. »
De la vie?
Certains pensent qu’il y aurait la vie… Oui, peut-être. De l’eau. Pour l’instant les informations à ce sujet sont faible je reviendrai certainement dessus…
Combien de temps pour y aller?
Ce système est situé à environ 39 années-lumière de la Terre, soit 370 000 milliards de kilomètres. Cependant, 39 années-lumière est une distance incroyable à notre échelle. Il serait possible de rejoindre TRAPPIST-1 en 39 ans en se déplaçant à la vitesse de la lumière, mais ceci n’est pas une possibilité et est une notion totalement contraire aux lois de la physique sauf si un jour nous arrivions à créer une distorsion de l’espace temps (le fameux passage en distorsion temporelle de Star Trek)…
L’homme rêve depuis longtemps d’aller sur Mars. Mais à l’heure où certains parlent des premières colonies, la NASA lance une sorte de campagne de mobilisation de tous les talents. Nous sommes d’ailleurs nombreux à rêver de pouvoir aller sur Mars. Certains sont d’ailleurs même prêts à le faire au sacrifice de leur vie. Tant pis s’il n’y a pas de retour possible ou que le voyage soit dangereux.
Aujourd’hui, la NASA vs. SpaceX
En ce moment même, nous sommes déjà en train de recruter des personnes pour le premier envoi d’homme vers Mars.
La NASA prévoit d’envoyer les premiers Hommes dans la décennie 2030. Le milliardaire Elon Musk, patron de SpaceX, envisage, lui un départ anticipé en 2024 (arrivée prévue sur Mars en 2025). Selon ses plans divulgués en détail le 28 septembre 2016, les premiers colons d’une base entièrement autonome pourraient débarquer sur Mars dans 40 ans, mais seulement si tout ce passe bien.
Un vol habité vers Mars soulève évidemment des enjeux techniques, mais aussi des enjeux sociaux et psychologiques auxquels on ne pense pas forcément au premier abord.
Futura-Sciences a interviewé Charles Frankel, planétologue, pour qu’il nous parle des relations entre astronautes durant un vol habité de ce type. Voir la vidéo ci-dessous.
Nouvelle Série MARS Sur National Géographic Channel! Une émission sur « Mars« , mais aussi une fiction de ce qu’il pourrait y avoir en 2033 sur la petite planète… « Mars », mini série en 6 épisodes sur National Geographic, chaque dimanche à 20h35.
Petit résumé/introduction
Pour la survie de l’humanité, il faut établir une base martienne. C’est l’histoire de la première colonie humaine sur Mars. C’est ce que nous raconte la mini-série en six épisodes sur la chaîne TV National Geographic. Une réussite!
2033
Nous sommes en 2033 et le vaisseau Deadalus achemine l’équipage de la première mission humaine vers la Planète rouge. Les plus éminents spécialistes des agences spatiales, les entrepreneurs, les penseurs de l’espace semblent tous convaincus : la survie de l’espèce passe par Mars. L’humanité doit s’établir sur une autre surface planétaire pour espérer échapper à la pénurie de ressources terrestres. Mars semble donc la destination la plus simple à atteindre.
Le premier épisode diffusé dimanche 20 novembre à 20h35 en VF, raconte le départ depuis la Terre et l’arrivée sur Mars. Pendant la préparation, chacun des membres de l’équipage répond à une interview. C’est donc l’occasion de saisir la diversité des personnalités, des rêves et des fêlures. Mais il va aussi falloir rompre à tout jamais avec tous les moments de bonheur terrestre. Mais aller sur Mars est une autre affaire que de traverser l’Atlantique, de ce fait, les problèmes ne manquent pas.
2016
C’est là que se situe l’originalité de la série : nous retournons en 2016 et c’est Elon Musk, le célèbre entrepreneur inventeur ingénieur et milliardaire à la tête de Space X (entreprise spatiale privée) qui explique les difficultés techniques de l’aventure ou encore Robert Zubrin, le célèbre ingénieur de Mars Society, cette société savante qui fait du lobbying pour les voyages martiens. Ainsi la série jongle entre deux temporalités. La fiction qui se situe dans moins de deux décennies et le documentaire riche en informations scientifiques et techniques de 2016 alternent une fois l’un une fois l’autre… C’est donc un docu-fiction où l’on se projette dans le futur tout en ayant à l’esprit les problèmes qui restent encore à résoudre pour pouvoir bâtir une colonie humaine sur Mars.
Mon avis
Je vous la recommande à 100% , elle me fait beaucoup penser au film Seul sur Mars. Sauf qu’ici c’est une série et en plus de la fiction il y a une émission sur Mars. Je trouve qu’on en apprends beaucoup mais tout en regardant sa série de science-fiction. Page officiel de la série.
Sortez vos jumelles, vos télescopes ou même votre œil nu! Le lundi 14 Novembre 2016, soyez près à observer la plus grande Super-Lune du siècle! En effet, il n’y en aura pas d’autre Super-Lune avant le 25 Novembre 2034 et encore elle ne sera pas aussi grosse que celle-ci! Autant vous dire que ce lundi 14 novembre, mieux vaut jeter un œil par sa fenêtre! À l’occasion de cet événement, notre satellite naturel semblera en effet 14% plus gros que d’habitude, mais aussi 30% plus brillant. Bref, le 14 novembre, nous avons tous rendez-vous avec la Lune ! (Pourvu qu’il n’y ait pas de nuages !)
Qu’est ce qu’une Super-Lune?
C’est une pleine ou nouvelle lune qui coïncide avec une distance minimale du satellite à la Terre.
Ce nom populaire correspond à l’expression scientifique périgée-syzygie.
En effet, un étrange signal radio venu de l’étoile HD 164595 aurait été capté le 15 mai 2015 par le radiotélescope RATAN-600…
Pour Seth Shostak, astronome à l’institut Seti, il est peu probable que le signal radio capté le 15 mai 2015 par le radiotélescope RATAN-600 soit le fait d’une civilisation extraterrestre voulant entrer en communication avec nous. En effet, sur les 39 tentatives d’« écoute » menées par l’équipe, le signal n’est arrivé qu’une seule fois, a-t-il relevé. En outre, il rappelle que les découvreurs n’avaient pas jugé nécessaire alors de les prévenir. Bien que celle ci soit la procédure en cas de détection d’un « candidat-Seti ». Autrement dit, ils n’y croyaient pas trop.
Quelques témoignages sur le phénomène HD 164595…
Il est plus probable que ce soit une interférence terrestre qui en soit à l’origine. Néanmoins, « nous continuerons de surveiller ce système d’étoile, a indiqué l’astronome. On n’a pas encore couvert toute la gamme de fréquences dans laquelle le signal pourrait être situé ».
Sur ceux les chercheurs insistent bien sur le fait que personne n’a encore conclu qu’il s’agit d’un signal émis par une civilisation extraterrestre. C’est une hypothèse parmi les autres envisagées. C’est même en dernier recours. En attendant, il est nécessaire de recueillir davantage d’informations sur cette étoile. Elle serait située à seulement 95 années-lumières (c’est donc relativement proche à l’échelle de la Galaxie)… Futura…
Voici la dernière théorie sur l’univers qui suppose que c’est une illusion. Ceci peut paraître absurde mais nos scientifiques s’y intéressent de plus en plus…
Principe holographique: théorie selon laquelle l’univers est une illusion
Malgré nos grand télescopes, malgré des siècles de recherche scientifiques et le développement d’un appareillage théorique conséquent, la nature profonde de la réalité du monde physique nous échappe encore. Ciel & Espace.
Vivons nous dans un hologramme, dans la projection à 3 dimension d’une réalité plus profonde qui serait en 2D? Cet théorie peut nous paraître absurde, elle est baptisée « principe holographique ». Elle occupe de plus en plus nos scientifiques (astrophysiciens et physiciens théoriciens).
En effet comme vous avez pu le voir sur l’image ci-dessous ce fut impressionnant et surtout magnifique à observer! La comète trace une superbe ligne sur le Soleil.
En effet, Planète X aurait fait basculer les orbites du Système solaire. La neuvième planète du Système solaire n’a toujours pas été observée. Mais en attendant la preuve de son existence, les astronomes viennent de découvrir un argument de plus pour la prendre au sérieux. Les perturbations gravitationnelles qu’elle exercerait rendent compte d’une énigme de la mécanique céleste. C’est l’inclinaison des orbites des autres planètes par rapport à l’équateur du Soleil.
Chronologie des découvertes de planète éloigné
Fin août 1846, l’astronome français Urbain Le Verrier rendait public le résultat des calculs qu’il avait menés en utilisant la théorie des perturbations en mécanique céleste. Elle a été intensément développée par Lagrange et Laplace des dizaines d’années plus tôt. Elle servait pour étudier, notamment la stabilité des orbites du Système solaire. Il en résultait qu’une nouvelle planète existait au-delà d’Uranus. Et que c’est l’influence de sa gravité qui expliquait les anomalies des mouvements de la planète découverte au XVIIIe siècle par Herschel. Il s’agissait bien sûr de Neptune. Celle autour de laquelle un autre astronome français, André Brahic, découvrira des anneaux au XXe siècle.
L’histoire est-elle en train de se répéter singulièrement à 170 ans d’intervalle ? On se souvient de l’annonce retentissante, le mercredi 20 janvier 2016, de la possible existence d’une neuvième planète dans le Système solaire. Elle provenait de la publication d’un article dans The Astronomical Journal. Celui écrit par deux chercheurs du célèbre Caltech, Mike Brown et Konstantin Batygin. En analysant les caractéristiques des orbites d’objets transneptuniens, ils en avaient déduit la présence d’une géante gazeuse comparable en masse et en taille à Neptune. Elle serait à plus de 30 milliards de kilomètres du Soleil! Il pourrait s’agir d’une exoplanète capturée par le Soleil ou d’un corps. Et celui-ci se serait formé comme les autres, à l’aube de l’histoire du Système solaire et aurait ensuite migré.
Petite conclusion
On ne sait toujours pas si cette planète X existe bel et bien mais un nouveau rebondissement vient de se produire et il est fascinant. X étant ici une lettre, comme celle désignant une quantité inconnue en algèbre et non un chiffre. Il provient de deux équipes de chercheurs qui ont déposé sur ArXiv deux articles dont les conclusions sont très similaires. Elles rendent plus crédible encore l’existence d’une neuvième planète. Il s’agit d’un côté, et sans surprise, de Konstantin Batygin et Michael E. Brown avec leur collègue Elizabeth Bailey, et de l’autre, de Rodney Gomes, Rogerio Deienno et du célèbre Alessandro Morbidelli.
Précisions
J’ai tiré cet article de Futura-Science car je l’ai trouvé très bon et complet.
Hubble commence à analyser les atmosphères de possibles exoterres
Le télescope Hubble avait déjà permis d’étudier la composition chimique d’atmosphères d’exoplanètes, mais seulement de géantes gazeuses et de super-terres. Grande première : des astrophysiciens ont pu l’utiliser pour caractériser, partiellement, des atmosphères de petites planètes rocheuses, de la taille de la Terre.
Une réussite de bon augure avant la mise en service de télescopes plus puissants encore.