Mercure est la planète la plus proche du Soleil et d’ailleurs celle ci est une planète tellurique. Son éloignement du Soleil est compris entre 0,3075 et 0,4667 UA. UA est l’unité astronomique de longueurs. La surface de Mercure[glossary] est environ à -183°C là où les rayons solaires ne parviennent jamais et 427°C au point [glossary]subsolaire, cette planète a donc bien des températures différentes… Elle est la plus petite planète du système (sans compter Pluton) elle met d’ailleurs 58,646 jours à faire le tour du Soleil. Cette petite planète a une couleur grise et terne qui peut tourne un peu au rouge à cause du fait qu’elle soit près du Soleil. Dans certains elle me rappelle la couleur de Mars bien que celle ci soit toujours de couleur rouge…
Informations plus précises
Elle a été découverte par les romains il y a fort longtemps. La petite planète doit son nom au dieu qui s’apelle Mercure ou bien Hermès du commerce et des voyages, également messager des autres dieux dans la mythologie romaine.
La planète a été nommée ainsi par les Romains à cause de la vitesse à laquelle elle se déplaçait. Elle est près de trois fois plus petite que la Terre. Bien qu’elle soit presque aussi dense qu’elle, avec une gravité de surface pratiquement égale à celle de Mars. Celle ci étant pourtant près de deux fois plus massive.
En effet comme vous avez pu le voir sur l’image ci-dessous ce fut impressionnant et surtout magnifique à observer! La comète trace une superbe ligne sur le Soleil.
En effet, Planète X aurait fait basculer les orbites du Système solaire. La neuvième planète du Système solaire n’a toujours pas été observée. Mais en attendant la preuve de son existence, les astronomes viennent de découvrir un argument de plus pour la prendre au sérieux. Les perturbations gravitationnelles qu’elle exercerait rendent compte d’une énigme de la mécanique céleste. C’est l’inclinaison des orbites des autres planètes par rapport à l’équateur du Soleil.
Chronologie des découvertes de planète éloigné
Fin août 1846, l’astronome français Urbain Le Verrier rendait public le résultat des calculs qu’il avait menés en utilisant la théorie des perturbations en mécanique céleste. Elle a été intensément développée par Lagrange et Laplace des dizaines d’années plus tôt. Elle servait pour étudier, notamment la stabilité des orbites du Système solaire. Il en résultait qu’une nouvelle planète existait au-delà d’Uranus. Et que c’est l’influence de sa gravité qui expliquait les anomalies des mouvements de la planète découverte au XVIIIe siècle par Herschel. Il s’agissait bien sûr de Neptune. Celle autour de laquelle un autre astronome français, André Brahic, découvrira des anneaux au XXe siècle.
L’histoire est-elle en train de se répéter singulièrement à 170 ans d’intervalle ? On se souvient de l’annonce retentissante, le mercredi 20 janvier 2016, de la possible existence d’une neuvième planète dans le Système solaire. Elle provenait de la publication d’un article dans The Astronomical Journal. Celui écrit par deux chercheurs du célèbre Caltech, Mike Brown et Konstantin Batygin. En analysant les caractéristiques des orbites d’objets transneptuniens, ils en avaient déduit la présence d’une géante gazeuse comparable en masse et en taille à Neptune. Elle serait à plus de 30 milliards de kilomètres du Soleil! Il pourrait s’agir d’une exoplanète capturée par le Soleil ou d’un corps. Et celui-ci se serait formé comme les autres, à l’aube de l’histoire du Système solaire et aurait ensuite migré.
Petite conclusion
On ne sait toujours pas si cette planète X existe bel et bien mais un nouveau rebondissement vient de se produire et il est fascinant. X étant ici une lettre, comme celle désignant une quantité inconnue en algèbre et non un chiffre. Il provient de deux équipes de chercheurs qui ont déposé sur ArXiv deux articles dont les conclusions sont très similaires. Elles rendent plus crédible encore l’existence d’une neuvième planète. Il s’agit d’un côté, et sans surprise, de Konstantin Batygin et Michael E. Brown avec leur collègue Elizabeth Bailey, et de l’autre, de Rodney Gomes, Rogerio Deienno et du célèbre Alessandro Morbidelli.
Précisions
J’ai tiré cet article de Futura-Science car je l’ai trouvé très bon et complet.
Hubble commence à analyser les atmosphères de possibles exoterres
Le télescope Hubble avait déjà permis d’étudier la composition chimique d’atmosphères d’exoplanètes, mais seulement de géantes gazeuses et de super-terres. Grande première : des astrophysiciens ont pu l’utiliser pour caractériser, partiellement, des atmosphères de petites planètes rocheuses, de la taille de la Terre.
Une réussite de bon augure avant la mise en service de télescopes plus puissants encore.
Le satellite Kepler continue sa chasse aux exoplanètes et le résultats sont très abondants! En effet le satellite a déniché une centaine d’exoplanètes. Dont cinq dont le cas nous intéressent encore plus, puisque elle pourrait être habitable… Dans le cadre de la mission K2, 104 nouveaux mondes viennent d’être ajoutés, après confirmations avec des télescopes terrestres.
Un système de quatre planètes rocheuses a été débusqué, à seulement 181 années-lumière de chez nous.
Eh oui, c’est l’été et notre ciel nous propose de magnifiques choses à observer! Je vous propose cette article pour en savoir plus…
Un ciel de météores et un ballet de planètes!
Voici tout ce que vous devriez pouvoir observer durant votre été dans le ciel! Ce début d’été vous proposera trois maxima de météores, dont les delta-Aquarides sud, la planète naine Pluton qui sera à l’opposition, et de belles rencontres de la Lune avec Jupiter, Mars et Saturne. On notera également un rapprochement entre Mercure et Vénus, mais difficilement visible dans les lueurs du crépuscule. Futura.
Bonnes observations et bonnes vacances!
Tout d’abord une petite vidéo d’introduction pour tout ce qui ont oublié ou ne connaissent pas très bien Hubble. Je rappelle que c’est un télescope spatial. Pour plus d’information, je vous propose d’aller faire un tour sur cette page de notre fameuse encyclopédie en ligne: https://fr.wikipedia.org/wiki/Hubble_(t%C3%A9lescope_spatial)
Revenons en au sujet initial
Eh bien oui, comme vous l’avez découvert dans le titre, Hubble est prolongé jusqu’en 2021. Après 26 années dans l’espace, il fonctionne toujours aussi merveilleusement bien. Alors, pourquoi voudrions nous le mettre hors service ? Sa mission vient donc d’être prolongée de cinq ans, ou plutôt jusqu’en 2021. Nous supposons que pour fêter cette annonce , la Nasa vient de mettre en ligne une superbe image d’un amas stellaire dans le Grand nuage de Magellan que voici ci-dessous:
Dans l’amas ouvert NGC 1854, vu par Hubble, les étoiles sont de masses différentes mais cependant presque toutes nées en même temps, par effondrement gravitationnel et fragmentation d’un nuage moléculaire. Les étoiles visibles sont donc jeunes et, dans un milliard d’années tout au plus, elles seront dispersées. Pour un Terrien, NGC 1854 est observable depuis l’hémisphère sud. Nasa, Esa
Un nouveau venu mais une belle nouvelle quand même…
Le télescope spatial James Webb devrait être lancé par une fusée Ariane en 2018. Il devrait récolter de belles découvertes en cosmologie et en exobiologie. Pour autant, l’arrivée prochaine de cette vedette très attendue ne signifie pas que Hubble ne sera plus utilisé. La NASA vient de faire savoir que des fonds sont disponibles pour l’exploiter jusqu’au 30 juin 2021, au moins.
On a collecté environ 50.000 météorites sur Terre mais celle retrouvée dans une carrière suédoise, piégée dans du calcaire qui s’est déposé il y a 470 millions d’années, ne ressemble à aucune autre, la météorite Österplana 065. Cette découverte nous donne peut-être des informations précieuses et inédites sur l’histoire de la biosphère et du Système solaire. Jusqu’à 2011, les chercheurs n’avaient découvert qu’un seul type de météorites, des chondrites ordinaires de type L, qui constituent environ 35 % de l’ensemble des météorites cataloguées, et 40 % des chondrites ordinaires, représentant 87 % des quelque 50.000 météorites collectées sur Terre.
La nouvelle météorite: Österplana
La météorite Österplana 065 (8 × 6,5 × 2 cm) est entourée d’un halo gris dans du calcaire autrement rouge, donc oxydé. On pense que l’oxygène a été consommé par l’altération de la météorite, alors au fond de la mer de l’Ordovicien où se déposaient les sédiments. La pièce de monnaie a un diamètre de 2,5 cm.
En image:
Une vue d’artiste montrant la collision violente entre deux astéroïdes. De nombreux débris sont produits, dont certains retomberont un jour sur Terre. Celles que l’on nomme des chondrites ordinaires constituent 87 % des quelque 50.000 météorites collectées à ce jour sur notre planète.
………. D’après les dernières informations, on dit que la terre a un nouveau satellite…, mais est-ce vrai???…
Réponse: satellite ou pas?
De temps en temps, un astéroïde géocroiseur vient rendre visite à la Terre. Il devient donc, temporairement, une mini-lune, un « quasi-satellite[/glossary] » d’après les astronomes.
Comment expliquer:?
Il arrive que des corps minuscules viennent danser un moment autour de notre planète avant de s’en détacher de nouveau. Des astéroïdes qui croisent notre route (des géocroiseurs) et jouent les compagnons terrestres. Certes, pas de quoi rivaliser avec notre Lune (3.474 km de diamètre), actuellement distante en moyenne de 384.399 km et liée gravitationnellement à la Terre depuis environ 4,5 milliards d’années. Ce ne sont donc que des mini-lunes, en somme, qui viennent passer un peu de temps avec la Terre…
Illustre astrophysicien, André Brahic est mort dimanche 15 mai à l’âge de 73 ans, suite d’un cancer. Grand explorateur du système solaire, l’homme était devenu célèbre pour avoir découvert avec l’Américain William Hubbard les anneaux de Neptune. Mais le communiqué de l’Élysée, pour rendre hommage à la mémoire du chercheur, est sans doute parti un peu vite dimanche soir, « Astrophysicien spécialiste de planétologie, il a découvert les anneaux de Saturne. Il les avait appelés Liberté, Égalité, Fraternité ».
Quelques minutes, plus tard, le rectificatif tombe. Il fallait évidemment comprendre « Neptune » et pas Saturne ». Quant aux anneaux qui auraient pour nom notre devise, il y a également méprise. Seuls « les arcs composant le dernier anneau de Neptune ont été baptisés ainsi pour célébrer le bicentenaire de la Révolution française ». Un communiqué publié à 20 h 15 dimanche sur le site de l’Élysée a finalement corrigé les deux erreurs. Tiré de Le point.
Voici une petite info qui, je l’espère vous sera utile.
Petite info pour les amateurs d’observation!
Les amateurs équipés d’instruments astronomiques et de lunettes spéciales vont pouvoir observer la plus petite planète du système solaire lundi 9 mars 2016! Le transit de Mercure aura lieu lundi 9 mai 2016, entre 13h12 et 20h42. La petite planète va traverser le disque solaire d’est en ouest, pendant plus de 7 heures.
Le phénomène est exceptionnel, parce que très rare! Elle passe tous les 116 jours entre la Terre et notre étoile. Mais, du fait de l’inclinaison de son orbite autour de l’astre par rapport à l’orbite de la Terre, elle nous paraît la plupart du temps se trouver au-dessus ou en dessous du Soleil. De ce fait, les transits de Mercure devant le Soleil sont peu fréquents : il y en a 13 ou 14 par siècle. Le dernier s’est produit il y a 10 ans. Les prochains seront en novembre 2019, en novembre 2032 et en mai 2049. Le dernier passage rigoureusement identique à celui-ci remonte à 1799 ! « Sa durée et sa visibilité depuis toute la France métropolitaine — et mieux encore depuis les Antilles — en font un moment privilégié », explique Pascal Descamps, astronome à l’Institut de mécanique céleste et de calcul des éphémérides de l’observatoire de Paris. Globalement, ce passage sera visible – avec des instruments adaptés – depuis l’Europe, l’Afrique, les Amériques et une partie de l’Asie. Ce phénomène, qui durera sept heures et demie, est rare, car il exige un alignement presque parfait du Soleil, de Mercure et de la Terre.
Attention aux yeux! L’Europe de l’Ouest et du Nord, l’ouest de l’Afrique du Nord, l’Afrique de l’Ouest, le Canada, l’est de
l’Amérique du Nord et une grande partie de l’Amérique latine seront aux premières loges pour observer ce long transit. À condition que la météo soit favorable. « C’est toujours excitant de voir des phénomènes astronomiques rares de ce type », souligne Martin Barstow, président de la Royal Astronomical Society, dans un communiqué. « Cela montre que l’astronomie est une science accessible à tout le monde. » Mais il rappelle qu’il est important de respecter les consignes de sécurité. Regarder le Soleil directement sans protection peut provoquer des lésions oculaires irrémédiables. Les lunettes spéciales pour les éclipses solaires ne seront d’aucune utilité, car la planète est trop petite. « Il faut un instrument astronomique pour grossir l’image du Soleil », explique Pascal Descamps. Les astronomes amateurs pourront utiliser lunettes et télescopes à condition de les protéger par des filtres solaires appropriés. Le transit de mai, qui offre les meilleures conditions d’observation ne sera pas visible en France avant 2049.
Le premier étage de la fusée Falcon 9 a tranquillement atterrit sur une barge flottant dans l’océan Atlantique!
En effet, la société SpaceX a réussi, le Vendredi 8 Avril, pour la première fois, à faire atterrir tout en douceur, le premier étage de sa fusée Falcon 9. Je vous propose d’en voir les images ci-dessous:
En effet, Opportunity grimpe et aperçois une micro tornade sur Mars! Toujours très en forme, le rover qui s’était lancé en février dans l’ascension du flanc sud de la vallée de Marathon, a dû renoncer à l’approche du sommet. La pente était devenue trop raide et périlleuse… Ce point de vue élevé lui a tout de même permis une belle observation : un tourbillon de poussière. Tirée de Futura.
Qui est Opportunity?
Il est un Rover qui a été envoyer sur Mars en Janvier 2004. Voici une petite vidéo de son périple depuis:
Le long périple d’Opportunity à la surface de Mars par Futura-Sciences.
Effectivement, du 21 au 22 Mars 2016, nous pouvions apercevoir deux comètes dans le ciel! Du jamais vu depuis 246 ans. Je vous propose quelques informations sur elles.
Qui sont ces deux comètes?
La comète P/2016 BA14 PanSTARRS frôle la Terre à moins de 10 fois la distance Terre-Lune, soit 3,4 millions de kilomètres. Et la veille, 252P/Linear passe à 5 millions de km. Cela peut paraître énorme mais ce n’est pas si grand que ça! On n’avait pas vu un passage aussi rapproché depuis 246 ans !
Suite à mon petit article: Planète X notre neuvième planète, j’ai décidé de refaire un deuxième article avec plus d’informations grâce au dernière découvertes et recherches (Je vous invite à lire mon premier article sur planète X pour mieux comprendre.)…
Qui est Planète X?
Elle serait donc la neuvième planète de notre système solaire, une nouvelle géante gazeuse. Je vous propose une petite vidéo, bien qu’elle soit en anglais elle très intéressante:
Et pluton alors?
Tel est la questions que je me suis posée en voyant les premières annonces. J’ai donc fait des recherches et je vous propose de les partager avec vous.
À la suite de la découverte de la planète Neptune en 1846, de nombreuses spéculations sur l’existence d’une autre planète pouvant exister au-delà de son orbite commencèrent à émerger. La recherche a commencé dans le milieu du XIXe siècle et a culminé au début du XXe avec Percival Lowell. Lowell proposa l’hypothèse de la Planète X pour expliquer des contradictions apparentes dans les orbites des planètes géantes gazeuses, en particulier Uranus et Neptune, puis émit l’hypothèse que la gravité d’une neuvième planète invisible qui prendrait 25000 ans a faire le tour de son orbite et qui perturberait Uranus et causerait ces irrégularités. La découverte de Pluton par Clyde Tombaugh en 1930 semble valider l’hypothèse de Lowell, et Pluton est officiellement considérée comme la neuvième planète jusqu’en 2006. En 1978, Pluton a été jugée trop petite pour que sa gravité puisse affecter les géants de gaz, ce qui entraîne une brève recherche d’une dixième planète. La recherche a été largement abandonnée dans les années 1990, quand une étude des mesures effectuées par le vaisseau spatial Voyager 2 a constaté que les irrégularités constatées dans l’orbite d’Uranus étaient dues à une légère surestimation de la masse de Neptune. Après 1992, la découverte de nombreux petits objets glaciaux avec des orbites semblables ou même plus larges que Pluton a conduit à un débat quant à savoir si Pluton devait rester une planète, ou si elle et ses voisins devaient, comme les astéroïdes, avoir leur propre classe. Bien que certains des plus grands membres de ce groupe aient été initialement décrits comme des planètes, en 2006, l’Union astronomique internationale a reclassé Pluton et ses grands voisins comme planètes naines, ne laissant que huit planètes dans le système solaire. Aujourd’hui, la communauté astronomique accepte largement que la planète X, telle qu’elle fut envisagée initialement, n’existe pas, mais le concept de Planète X a été relancé par un certain nombre d’astronomes pour expliquer d’autres anomalies observées à l’extérieur du Système solaire. Dans la culture populaire, et même pour certains astronomes, la Planète X est devenue un symbole de la planète inconnue dans le Système solaire externe, indépendamment de sa relation avec l’hypothèse de Lowell.
La Planète Neuf a enfin était détectée, elle serait située au-delà de Neptune, et même bien au delà de la ceinture de Kuiper, et donc la neuvième planète du Système solaire tant dans l’ordre de sa découverte qu’en termes de distance au Soleil. À ce titre, elle pourrait être la « planète X » historiquement recherchée au-delà de Neptune puis Pluton. Des éléments d’une possible existence ont été apportés par le « California Institute of Technology » en janvier 2016. Voilà donc qui elle est vraiment et pourquoi Pluton n’a plus sa place de neuvième planète! Tirée de Wikipédia.