Découverte de planètes géantes depuis l’observatoire Alma
Des astronomes ont trouvé, à l’observatoire Alma, au Chili, au sein de disques de poussière et de gaz qui entourent quatre jeunes étoiles, des preuves de la récente formation de planètes géantes dont les masses excèdent plusieurs fois celle de Jupiter. Des mesures effectuées sur le gaz qui les environne ont par ailleurs permis de cerner encore mieux leurs caractéristiques. Source:futura-science
Les scientifiques ont fait une étonnante découverte dans l’espace: Lovejoy
Une équipe internationale dirigée par deux Français étudie de nouvelles molécules organiques complexes, ces petites briques de la vie. Et alors qu’ils étudiaient la composition de la comète Lovejoy, à leur grande surprise, ils ont trouvé à sa surface deux composés bien connus sur Terre qui ne sont autre que le sucre et l’alcool.
C’est un joli petit cocktail qu’ont découvert ces chercheurs de l’observatoire de Paris : de l’alcool éthylique, du sucre, ainsi que 19 autres molécules organiques dont l’éthylène glycol, un
Que sont les centaures et en quoi nous menacent- elles?
Dans la mythologie grecque, les centaures sont des créatures grossières, cruelles, lubriques et ivrognes qui ont une très mauvaise réputation!
Dans le Système solaire, ce sont à la fois astéroïdes et comètes de 50 à 100 km pour la plupart, et attroupés entre les planètes géantes. Selon de récentes recherches, cette situation instable peut provoquer de redoutables chevauchées de quelques-uns d’entre eux parmi les petites planètes rocheuses. Aussi, il ne serait pas rare que de gros et petits fragments de ces comètes géantes croisent l’orbite de la Terre, voire plongent dans notre atmosphère, ce qui peut avoir des conséquences dévastatrices. Pour en savoir un peu plus: http://www.futura-sciences.com/magazines/espace/infos/actu/d/asteroides-cometes-geantes-centaures-menacent-elles-terre-61065/
Dans la nuit de lundi à mardi, à 02 h 29 heure de Paris une version améliorée du Falcon 9 de SpaceX a décollé avec succès de Cap Canaveral et mis en orbite 11 satellites de la constellation Orbcomm. Mais ce que l’on retiendra surtout de cette mission, c’est que la tentative de récupération de l’étage principal, qui était la première à viser un retour sur la terre ferme, est également réussie.
Une performance inédite dans l’histoire des lanceurs qui dépasse techniquement la performance de Blue Origin
qui fin novembre réussissait à faire atterrir sans encombre son véhicule suborbital New Shepard de retour d’un vol à 100,5 km d’altitude.
La NASA teste son premier moteur de fusée dont 75 % des pièces ont été imprimées en 3D.
L’assemblage a été soumis à une poussée de 88 964 newtons et une combustion de 3 315 °C. La technique d’impression 3D serait suffisante pour assembler un moteur destiné à atterrir sur Mars ou décoller de la Planète rouge, ou encore pour les derniers niveaux d’une fusée.
Retardement du lancement de Insight pour défaillance de l’outils
Le lancement du robot Insight sur la planète Mars, prévu au mois de mars 2016, a été reporté en raison d’une défaillance sur un outil de mesure des mouvements sismiques fourni par l’Agence spatiale française (CNES), a annoncé la NASA, mardi 22 décembre. Le délai engendré par cette défaillance devrait considérablement retarder la mission puisque la prochaine fenêtre de tir pour envoyer le robot chargé d’étudier les profondeurs de Mars ne s’ouvrira pas avant au moins deux ans.
Mars pourrait peut être un jour avoir un anneau grâce à Phobos…
La plus grosse lune de la planète rouge, Phobos dont la dislocation est inévitable pourrait fournir assez de débris pour qu’un anneau se forme autour d’elle, tel que celui d’une planète connue pour cela, Saturne. Phobos, le plus gros des deux satellites naturels de Mars, est extrêmement proche de sa planète hôte. A peine 6000 km de distance contre près de 380.000 km entre la Lune et la Terre. Cette proximité le condamne à subir les effets de puissantes marées gravitationnelles qui finiront par disloquer sa fragile structure interne et le briser en plusieurs morceaux. Les plus petits pourraient former le même anneau que Saturne à Mars, révèle des simulations réalisées par des astronomes et géologues de l’université de Californie-Berkeley.
Star Wars certes mais versus la réalité tout peut changer… 😉
Les choses impossibles dans Star wars
Dans la série, comme tout le monde l’a remarqué, les vaisseaux dans l’espace font un maximum de bruit en avançant, ce qui est strictement impossible puisque dans l’espace tout est muet car il n’y a pas de gaz!!!
Des choses qu’il y avait dans le film désormais réelles
Les hologrammes: Lorsque la princesse Leia envoie un message holographique à Obi Wan -Kenobi, nous aurions tous voulu envoyer des messages d’une telle manière.
Eh bien un professeur à l’Université de l’Arizona a effectivement créé le premier véritable message holographique. Il a travaillé à l’aide de 16 caméras pour créer le matériau source, puis deux lasers ont été utilisés pour transmettre le message sur un morceau de plastique pour créer un « motif de franges d’interférence » (un pour les tons sombres et un pour la lumière) qui semble flotter dans l’espace.
La main bionique: Lorsque Luke Skywalker perd sa main en luttant contre Darth Vader à la fin de la grève du Dos, un bot médicale lui greffe une nouvelle main bionique qui se déplace comme si elle était réelle.
Cette scène est maintenant une réalité, grâce à la nouvelle technologie de
Touch Bionics, la compagnie qui est derrière la main bionique i-LIMB Pulse. Il fonctionne en lisant les signaux myoélectriques qui sont de minuscules impulsions électriques dans votre bras, puis envoie un signal à la main, qui bouge et obéit en conséquence. Le plus cool dans tout ça est que cette main bionique fonctionne avec tout ordinateur et signaux Bluetooh, permettant aux utilisateurs la possibilité de modifier les algorithmes de la sensibilité et de contrôler indépendamment cinq doigts pour saisir des objets.
Les robots: C-3PO et R2-D2 étaient les robots les plus cool sur le Star Wars bloc et tout le monde voulait son propre robot après avoir regardé les films Star Wars !
Merci à la nouvelle technologie, nous avons maintenant des robots semblables au duo robotique dans le film. Honda a créé le robot humanoïde ASIMO qui peut reconnaître les visages, sons, objets mobiles et plus encore. Il y a aussi un ami robot de soins qui est un robot semi-autonome qui peut aider les gens qui sont paralysés ou souffrent d’une maladie musculaire.
Le sabre laser: Le fait que vous pourriez tuer quelqu’un ou de les couper en deux par l’utilisation d’une simple lumière nous dépasse encore. Le sabre laser doit être l’une des armes les plus cool dans toute l’histoire du cinéma. Bien sûr, il y a une abondance de plastique et jolie répliques de qualité cinéma, la vraie chose était comme impossible dans la réalité.
Les physiciens et les scientifiques disent qu’une telle arme ne pourrait jamais être créé parce que la lumière ne peut pas rester figé dans l’espace, car elle a tendance à se disperser. Cependant, les armes à laser sont à l’étude à des fins militaires. Il y a un sabre laser appelé le laser aéroporté qui est un 747 qui a été modifié pour émettre un faisceau de lumière continue.Il y a aussi plusieurs entreprises travaillant sur les armes à laser portables pour l’armée américaine comme le PEP (de projectile d’énergie pulsée) qui peuvent remplacer le pistolet paralysant bientôt. Il ressemble plus à un pistolet à plasma, mais la technologie devient sacrément près d’un sabre laser réelle.
L’étoile de la mort serait- elle un projet réalisable?
Techniquement: Selon un ingénieur de la Nasa, construire une Étoile de la mort ou une Étoile noire, l’un des vaisseaux incontournables de l’Empire dans la saga Star Wars, serait possible. Et il explique comment faire.
Dans une interview accordée à Wired, Biran Muirhead, ingénieur en chef du Jet Propulsion Laboratory de la Nasa, indique ainsi que la meilleure façon de s’y prendre serait de bâtir le vaisseau à même un astéroïde déjà existant. Celui-ci disposerait ainsi de toutes les ressources nécessaires pour entamer la construction.
«Il pourrait fournir le métal, indique-t-il. Vous avez des composés organiques, vous avez de l’eau – tout ce dont vous pourriez avoir besoin pour construire votre Étoile de la mort familiale.» Mais financièrement: Il ne faut jamais sous-estimer la force du côté obscur, et encore moins la taille de son porte-monnaie! Des étudiants américains de Pennsylvanie ont voulu chiffrer la construction de l’Etoile noire (ou « Etoile de la mort » dans la version originale) qui sert de base à l’empire galactique de Palpatine dans la série Star Wars, rapporte le site Streetpress. En se fondant sur un diamètre estimé à 140 kilomètres, et sur sa composition essentiellement en acier, les étudiants ont calculé la masse totale de ce matériau nécessaire à la construction en prenant comme référence les navires de guerre.
Selon leurs calculs, il faudrait 1,08 × 1015 tonnes d’acier pour réaliser la station spatiale. Soit, selon le prix en vigueur de l’acier, un coût total de 8 100 000 000 000 000 de dollars ou encore 13 000 fois le PIB mondial. Une paille, semble-t-il, pour Dark Sidious qui aurait lancé la construction de la première Etoile noire.
Toujours est-il que les étudiants notent qu’il faudrait 833 315 années pour produire suffisamment d’acier. Luke Skywalker et ses compères peuvent être rassurés. Techniquement il serait peut être réalisable de construire l’étoile de la mort, mais financièrement le coût risque de faire très très mal voir être impossible pour le porte-monnaie de la planète Bleue!
Voici ce que donnerait Star Wars VS la réalité!
Que ce soit défauts ou performances Star Wars nous a fait apprendre plein de choses et nous a inspiré pour d’autres inventions, mais lui même a encore des choses à apprendre!
Philae reprend contact avec la terre et nous découvrons beaucoup de belles choses sur Tchouri.
La sonde Philae ou de la mission Rosetta pourrait donner signe de vie pour son premier anniversaire sur Tchouri
Le robot Philae fêtera demain sa première année sur la surface de la comète Tchouri. Rétrospective d’une année plus qu’agitée.
C’était il y a maintenant presque 1 an jour pour jour ! Le 12 novembre 2014, l’histoire de la conquête spatiale européenne connaissait l’un de ses évènements les plus marquants avec l’atterrissage du robot d’exploration Philae sur la surface de la comète Tchouri.
Les temps durs récopensent!
En effet, il aura fallu 10 ans à la sonde Rosetta pour atteindre son but, la comète 67P/Tchourioumov-Guérassimenko plus communément appelée Tchouri. Si le long voyage s’est plutôt bien passé, Philae a rencontré quelques déboires à l’atterrissage.
Le robot a en effet rebondi à plusieurs reprises sur la surface de la comète avant de se poser entre des falaises qui lui cachaient la lumière du soleil et l’empêchait de recharger pleinement ses batteries. Après plusieurs semaines de silence, Philae se réveille à la grande surprise des équipes de l’ÉSA le 13 juin 2015. Le signal est cependant trop faible pour demander quoique ce soit au petit robot et le 9 juillet, la sonde Rosetta doit prendre ses distances avec Tchouri dont l’activité à la surface menaçait de causer des dégâts.
Reprise de contact imminente avec Philae
Depuis quelques semaines, le calme est revenu sur la comète et Rosetta peut de nouveau s’approcher de l’astre et renouer le contact avec Philae. Pour cela, la sonde doit se trouver à moins de 200 kilomètres du robot.
Selon Stephane Ulmer, l’un des responsables du programme, le contact pourrait être repris pour l’anniversaire de l’atterrissage du robot, mais il semble plus prudent d’attendre la fin du mois de novembre pour maximiser les chances de réussite. Si l’opération est un succès, Philae pourra de nouveau transmettre de précieuses données sur la composition de la surface de Tchouri. Ensuite, Rosetta rejoindra son compère sur la surface de la comète en septembre 2016 où ils pourront prendre une retraite bien méritée !
Tchouri et dioxygène : un accord surprenant mais pourtant, la comète « 67P/Churyumov-Gerasimenko »: tchouri, libère bien ce gaz.
Tchouri, la comète 67P/Churyumov–Gerasimenko, n’en finit pas d’émerveiller les astronomes. Après l’observation de la naissance d’un véritable bouclier magnétique à son approche du soleil, la découverte de molécules organiques complexes à sa surface, voici qu’une équipe internationale vient de mettre en évidence la présence d’oxygène moléculaire (O2) dans sa chevelure. Et pas qu’un peu : environ 3,8 % d’abondance relative par rapport à l’eau. « C’est vraiment beaucoup !s’exclame Kathrin Altwegg, astrophysicienne à l’Université de Berne, en Suisse, et co-auteur de la publication dans le magazine nature, décrivant cette découverte. Cela a été une surprise ! On ne s’attendait pas du tout à trouver de l’oxygène moléculaire » poursuit la chercheuse. En effet, les précédentes études des gaz composant la chevelure des comètes font état de la présence de vapeur d’eau (consécutive à l’effet des radiations solaires sur la glace qui les compose), de monoxyde de carbone (CO) et de dioxyde de carbone (CO2). Ces trois composés représentent 95 % des molécules de la chevelure, le reste étant fait d’un vaste cocktail de composés sulfurés ou hydrocarbonés. Mais jusqu’à présent, jamais de dioxygène (O2). Liens: – http://www.sciencesetavenir.fr/espace/systeme-solaire/20151026.OBS8305/du-dioxygene-fabrique-par-la-comete-tchouri.html?xtor=RSS-9
– http://www.begeek.fr/philae-pourrait-donner-signe-de-vie-pour-son-premier-anniversaire-sur-tchouri-185054
Pour la première fois la NASA observe quelque chose sortirent d’un trou noir!
Quelque chose sort d’un trou noir:
Si il y a bien une chose qu’Interstellar retranscrit correctement à propos des trous noirs, c’est que personne ne comprend vraiment ce qu’il en est. Plus sérieusement, nous ne comprenons pas toute la physique associée à ces objets massifs. Nous ne les comprenons pas entièrement et nous ne savons pas ce qui est possible ou non. Nous pensions que leur masse était telle que même la lumière, pourtant dépourvue de masse, était sensible à leur force de gravitation (cette force dépend de la masse des deux objets et de la distance qui les sépare). On pensait aussi que cette force de gravitation était telle que rien de pouvait y échapper, pas même les ondes électromagnétiques. Rendant l’étude des trous noirs très compliquée.
Voir: http://www.journaldugeek.com/2015/11/09/pour-la-premiere-fois-la-nasa-observe-quelque-chose-sortir-dun-trou-noir/.
Dans cet article, je vous propose de revivre toutes l’histoire de l’univers et du monde jusqu’à aujourd’hui, sous forme de frises, de schéma, d’images et de textes, avec une définitions brève et complète de chacun des points citée sur les frises. C’est l’histoire à ne pas rater!
L’histoire de l’univers à l’échelle de l’astronomie, du Big Bang à l’apparition de la vie sur Terre
0: Le Premier élément:
LE BIG BANG
(pour la petite définition voir article)!
Les 3 premières minutes:
Apparition de la matière: Les premiers atomes, molécules,…
Entre 1 et 3 milliards d’années s’écoulent:
Effondrement de matière à grande échelle: Depuis l’époque du découplage électromagnétique rendant l’univers transparent, entre 1 et 3 milliards d’années s’écoulent. La température est plus basse que jamais : 100°k. Dès lors la matière s’organise et, malgré les distances toujours plus grandes de l’univers, la force de gravitation est suffisante pour rapprocher les grains de matières entre eux et former des grumeaux de matière au milieu du « vide », des nuages de gaz (d’hydrogène et d’hélium) massifs comme des centaines de milliards de soleils … Ces nuages de gaz sont destinés à devenir des galaxies. Dans ces régions de l’espace légèrement plus denses, l’expansion ralentit, freinée par l’attraction gravitationnelle de la matière devenue plus forte. Stoppant localement l’expansion, la présence de ces hétérogénéités locales crée des instabilités gravitationnelles. Les embryons de galaxies s’effondrent sous l’effet de la gravité et se fractionnent en des centaines de milliards de petits nuages gazeux dont la masse varie entre 1/10ème et plusieurs centaines de masses solaires.
Juste après:
Naissance des premières étoiles: Eux même poussés par la gravité, les petits nuages prennent une forme sphérique et s’effondrent sur eux même à leur tour. L’effondrement gravitationnel de ces nuages de gaz entraîne l’augmentation de la densité et de la température. La température dépasse les dizaines de millions de degrés, les atomes d’hydrogène et d’hélium s’entrechoquent au cœur de la protoétoile, libérant électrons, noyaux d’hydrogène et d’hélium. On se croirait revenu à la troisième minute de l’univers, à ceci près qu’il n’y a pas de proton libre. Le processus nucléaire s’enclenche, les protons et neutrons se combinent 4 par 4 pour former des noyaux d’hélium-4, libérant une grande énergie qui se manifeste sous la forme d’un fort rayonnement. Les premières étoiles sont nées!
Vers 5 milliards d’années après le Big Bang:
Complexification de la matière dans l’univers: Il faut attendre environ 5 milliards d’années pour qu’explosent les premières supernovas, enrichissant les gaz interstellaires. A une époque située entre 8 et 10 milliards d’années depuis la naissance de l’univers, les premières molécules complexes présageant la vie apparaissent. La température est alors presque aussi basse qu’aujourd’hui : 3 K. Le milieu interstellaire s’est enrichit grâce à l’ensemencement des étoiles de première génération, des atomes lourds font leur apparition et le milieu s’opacifie. Les atomes étant plus massifs, la condensation de ceux-ci est facilitée grâce à l’attraction par rapport aux premières étoiles.
La contraction s’accélère et les galaxies de deuxième génération se forment, comme par exemple la Voie Lactée.
Il y a 5 milliards d’années:
Naissance de notre Soleil: Enfin, il y a cinq milliards d’années, c’est notre étoile, le Soleil, qui s’est formée à partir d’une nébuleuse faite de gaz et poussières possiblement analogue à M45 (l’amas des Pléiades), résidus d’une étoile morte de première génération. Les réactions de fusion thermonucléaire au sein des étoiles permettent la synthèse des éléments chimiques jusqu’au fer : c’est la nucléosynthèse stellaire.A la mort de l’étoile, la matière interstellaire peut capter des neutrons issus de l’explosion finale, et former ainsi tous les éléments de masse supérieur au fer par radioactivité bêta : c’est la nucléosynthèse interstellaire.
Il y a 4,6 milliards d’années:
Création du système solaire: Notre Terre existe dans un endroit que l’on nomme le système solaire. Cela signifie que notre planète fait partie de tout un ensemble qui orbite autour de notre unique étoile, le Soleil. Ainsi, Mercure, Vénus, la Terre,Mars, et toutes ces autres planètes bien connues tournent autour du Soleil. Le Soleil émet une très forte influence sur cet ensemble de planètes. Tout ceci, c’est le système solaire.
Il y a 4;5 milliards d’années:
Formation de la Terre:
L’histoire de la Terre couvre approximativement 4,5 milliards d’années (4 567 000 000 années), depuis la formation de la Terre à partir de la nébuleuse solaire jusqu’à maintenant.
Il y a environ 3,85 milliards d’années:
Apparition de la vie sur Terre: les premières cellules, de l’eau, température favorables, …
L’histoire de l’univers à l’échelle du développement connu de la vie depuis formation des premières cellules jusqu’à l’apparition des premiers homme
A suivre…
Sites recommandés pour plus d’info sur toute L’histoire de l’univers:
La tache de Jupiter rétrécit! D’après les dernières observations de la NASA, la grosse tache rouge, la gigantesque tempête de Jupiter aurait rétrécit voir si- dessous.
Grâce à Hubble qui observe chaque année Jupiter, les planétologues peuvent suivre les changements qui apparaissent dans sa haute atmosphère au fil de son orbite autour du Soleil. Les dernières images réalisées avec le télescope spatial signalent la présence de délicates et rares structures en forme de vague et confirment, par ailleurs, le rétrécissement de la Grande tache rouge.
D’après les dernières information, des Terriens sur Mars c’est possible mais alors pour quand? De l’eau liquide sur celle- ci, c’est vrai? Mais alors, ça veut dire quoi? Y a- t- il des Martiens?
De l’eau sur Mars
La Nasa vient d’annoncer que de l’eau y coulait bien, dans une étude dévoilée ce lundi. Une découverte scientifique majeure.
C’est LA grosse annonce de la NASA, qui faisait monter la mayonnaise depuis quelques jours. Il y a bien de l’eau liquide sur la planète rouge. C’est du moins ce qu’affirme avec certitude une équipe de scientifiques, dirigée par Lujendra Ohja du Georgia Institute of Technology (États-Unis), qui publie ses travaux ce lundi dans la revue Nature Geoscience.